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« Mon but n’est pas de retrouver la nostalgie du passé, sinon d’utiliser un procédé ancien pour créer des images jamais vues auparavant »
Utilisant le ferrotype (procédé photographique monochrome du milieu du XIXè siècle), Joni Sternbach, photographe new-yorkaise, immortalise la culture surf à travers le monde, des Etats-Unis à l’Australie, presque à la manière d’une ethnographe. Si l’intemporalité marque ses images, ce qui intéresse la photographe est avant tout de mettre en avant la quête du bonheur constante des surfeurs, identité propre à leur mode de vie.
Les clichés sont directement développés sur la plage, grâce à une chambre noire portative. Les images apparaissent alors à la manière d’un « polaroid du temps passé ». Une série de portraits est réunie au sein de l’ouvrage SurfLand.
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