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Chez Les Others, on pense qu’il est possible de concilier la ville, la nature et l’aventure, tout en consommant de façon intelligente et responsable. Et pour ça, quelle destination mieux que Stockholm, considérée comme l’une des villes les plus vertes au monde ? En partenariat avec Lafuma, on vous a donc concocté un guide pour explorer le côté green de la capitale suédoise avec au programme : kayak en pleine ville, randonnées, shops éco-friendly et excursion sur une île.
En 2010, Stockholm a été élue capitale verte d’Europe. Et pour cause : les parcs et espaces verts couvrent 40 % de la ville. La capitale suédoise est surtout un modèle à suivre en termes de développement durable et la destination rêvée pour qui veut voyager responsable. Ici, on parle de la Grön attitude, ou « attitude verte ».
De par sa géographie et ses liens directs avec la nature, Stockholm a très tôt pris conscience de son empreinte écologique et s’attèle à la réduire depuis les années 1920. Écolo avant l’heure, elle est l’une des villes européennes qui émet le moins de gaz à effet de serre, privilégiant des alternatives aux énergies fossiles, comme le solaire ou les bio-carburants : les bus fonctionnent tous à l’éthanol ou au biogaz, ce qui permet d’éviter l’émission de plus de 80 000 tonnes de CO2 par an, l’équivalent de 40 000 voitures en moins. Résultat, Stockholm est plébiscitée par l’Organisation mondiale de la Santé pour la qualité de son air… Peu de villes peuvent en dire autant !
Recyclage des déchets, panneaux solaires, vitesse limitée à 30km/h, pistes cyclables, navettes fluviales, récupération de l’eau de pluie… Des quartiers entiers sont conçus selon les codes de l’urbanisme durable, comme Hammarby Sjöstad, une ancienne décharge industrielle souillée par les métaux lourds devenue une référence mondiale. La Suède est aussi passée maître dans la réduction des déchets. En 2012, seulement 1 % des ordures ménagères finissaient à la décharge, et le pays est contraint d’acheter des déchets à ses voisins pour continuer à alimenter ses centrales. De quoi être optimiste pour les villes du futur !
Il n’en fallait pas plus pour qu’on prenne la direction du grand Nord. On est partis quelques jours à la découverte du côté green de Stockholm pour vous ramener des conseils, adresses et activités. Un projet que l’on a pu monter en compagnie de Lafuma. La marque s’attèle elle aussi à réduire au maximum son empreinte écologique à travers ses actions de terrain et ses produits labellisés Low Impact, testés et approuvés sur le terrain !
La Suède fait partie de l’Union Européenne, aucune formalité administrative n’est donc nécessaire. Un passeport ou une carte d’identité suffisent. En revanche, le pays a conservé sa monnaie locale, la couronne suédoise (ou krona). Pas de panique, la conversion est facile : 1€ correspond en gros à 10 kr, et on peut payer par carte bancaire absolument partout.
La meilleure période pour visiter Stockholm est probablement d’avril à septembre, pour profiter des longues journées d’été : en plein mois de juillet, le soleil se lève à 3h00 et se couche à 23h00 ! De nombreux marchés et activités ne sont d’ailleurs ouverts qu’à cette période de l’année. Attention, cela dit, au week-end du Midsommar, le 24 juin : tout est alors fermé. À noter également qu’il n’y a pas de décalage horaire entre la France et la Suède.
En arrivant
On est d’accord, l’avion n’est pas le moyen le plus écologique qui soit, loin de là. Mais pour rejoindre Stockohlm, il y a de grandes chances que vous atterrissiez à l’aéroport d’Arlanda. Le plus facile est alors de prendre l’Arlanda Express qui vous dépose à T-Centralen, la gare centrale, en à peine 20 minutes. C’est le moyen le plus rapide mais aussi le plus éco-friendly de rejoindre le centre-ville, labellisé 100% électricité renouvelable. Depuis Skavsta (100 km de Stockholm) ou Bromma (10km) il vous faudra prendre un bus Flygbussama. Comptez respectivement 1h20 de trajet et 20 minutes de trajet jusqu’à T-Centralen.
En vélo
Stockholm se visite très facilement à pied. Mais la ville dispose aussi d’un service de City Bike et de 760 km de pistes cyclables. Quelques coups de pédale suffisent pour se retrouver en pleine nature. Pensez à acheter une carte au préalable à un guichet SL (Stockholms Länstrafikdans, l’équivalent de la RATP) ou dans les magasins 7 Eleven et Pressbyrån. Il vous en coûtera 17€ pour 3 jours ou 30€ pour la saison (avril à octobre).
En transport en commun
Plus de 77 % des Stockholmois empruntent les transports en commun. D’ici, 2040 la municipalité promet que tous les transports publics fonctionneront à l’énergie renouvelable, en partie grâce à l’électricité hydraulique (l’eau est omniprésente ici). La ville est très bien desservie en bus et il serait même dommage de ne pas visiter le métro au moins une fois : certaines stations sont de vraies oeuvres d’art. Les cartes de transports permettent aussi d’emprunter le tramway ou le petit ferry pour passer d’île en île.
À Stockholm, l’eau est partout. La Baltique étant une mer fermée, les vagues se font rares. Du coup, quoi de plus naturel que de se déplacer en kayak ? De nombreuses compagnies permettent d’en louer pendant la saison, de mai à septembre selon les conditions. Et on vous laisse vous balader où vous voulez ! Une liberté qui peut même s’avérer assez déstabilisante. Au ras de l’eau, on profite d’une vue complètement différente sur la ville. Les bâtiments sont plus impressionnants et on se rend compte du dédale d’îles qui composent la ville. Comme itinéraire, on vous conseille de faire le tour de l’île de Kungsholmen (2 à 3 heures, 10 km) ou celui de Djurgarden (5 à 6 heures, 22 km) ou encore d’arpenter le canal de Långholmen (moins de 2 heures). Il est aussi possible de partir en expédition dans l’archipel et d’accoster sur une île comme Kärsön, Kungshatt ou Bird Island pour y passer la nuit. Attention : en pleine ville, le trafic maritime est important et la plupart des bateaux n’attendront pas de savoir si vous savez manoeuvrer. Par ailleurs, selon la hauteur de l’eau, certains endroits peuvent se transformer en mini rapides.
Avec ses 26 parcs, Stockholm est belle et bien verte. À l’Est de la ville se trouve par exemple l’île de Djurgården. Cette ancienne réserve de chasse royale fait partie de l’Ekoparken de Stockholm, le premier parc national urbain au monde, une aire protégée s’étendant sur 27 km² entre Stockholm et les villes voisines de Solna et Lidingö. C’est bien simple : on se retrouve en pleine nature. Djurgården est facilement accessible à pied, en bateau, en bus ou en tram. On a compté seulement 10 minutes de vélo depuis T-Centralen ! L’île n’est pratiquement pas habitée, mais au delà de la forêt, des vastes étendues d’herbe et des plages où se baigner, on trouve quelques musées, hangars à bateaux et petits cottages en bois. On en oublierait presque qu’on est en plein coeur d’une capitale.
Sur les hauteurs de Djurgården, au milieu des bois, on découvre les jardins de Rosendals, une ancienne école de paysagiste fondée par Bernadotte au début du XIX siècle, aujourd’hui investie par une association à but non lucratif. Des champs de fleurs, des vergers, des potagers, des roseraies et de grandes serres blanches où se trouve un café avec des plats simples élaborés sur place à partir des produits du jardins. L’ensemble est géré avec une seule idée en tête : du potager au café, tout est lié et rien ne doit être gâché. Les jardiniers appliquent les principes de la bio-dynamie, en suivant le cycle de la nature et le rythme de saisons. Une approche durable qui s’applique aussi aux hommes : les visiteurs tout comme les employés sont invités à mettre la main à la pâte et à participer à des ateliers. Les jardins de Rosendals se présentent comme un lieu de savoir et de partage qui entend reconnecter les habitants avec la nature et la culture potagère.
Rosendals Trädgård, Rosendalsterrassen 12, 115 21 Stockholm, tous les jours de 11h à 17h.
Il faut rejoindre la rive Sud de Djurgården et se perdre entre les rares habitations pour trouver ce coffee shop aux airs de cabane de pêcheur. Entre deux hangars à bateaux et un petit port où habite à l’année une communauté LGBT, Skroten est à la fois un café, un restaurant et un magasin d’objets de la mer. On y trouve, en vrac, des cordes, de vieilles cartes, des sextants, des filets, des bouées… Il y en a tellement qu’on ne sait plus trop où regarder ! L’ambiance nous rappelle ces histoires de pirates ou de chasse au trésor. On se pose sur la terrasse pour faire une pause au son des mouettes.
Skröten, Beckholmsbron 14, 115 21 Stockholm, tous les jours de 11h à 17h.
Pour trouver le Vintervikens Trädgård, il faut faire quelques arrêts de métro, traverser une zone pavillonnaire, descendre sous un pont auto-routier, longer des terrains de sport… Mais pas de panique, vous êtes sur la bonne voie ! On arrive enfin dans ce lieu assez particulier, mi-jardin partagé, mi-lieu culturel. Le Vintervikens Trädgård est né dans les années 1970, au fond d’un vallon abandonné suite aux expériences d’Alfred Nobel sur la dynamite et quelques explosions. Une association a alors mis en place les tout premiers jardins ouvriers de Stockholm, où chacun pouvait (et peut toujours) adhérer pour cultiver quelques légumes et retrouver un peu de nature. L’endroit s’est agrandi pour devenir un tiers-lieu depuis 2009. Outre les jardins et le potager, on y trouve un coffee shop (bio et garanti zéro déchet), un farmers market chaque dimanche d’été et plusieurs scènes : de mars à octobre, le Vintervikens Trädgård accueille des concerts, du théâtre et tout un tas de manifestations culturelles auxquelles on vient assister allongés dans l’herbe.
Vintervikens Trädgård, Vinterviksvägen 30, 117 65 Stockholm.
Le second-hand est un véritable concept culturel en Suède. À Stockholm, on trouve quantité de friperies, marchés aux puces et brocantes. Chaque week-end d’avril à septembre, le marché d’Hornstull investit la rive Sud de Sördermalm. Chacun peut y vendre ses objets, vêtements, vinyles ou oeuvres d’art. Deux des plus beaux vintage shops de la ville sont tenus par Christian Quaglia. Il a d’abord ouvert Brandstationen en 2005, avec des meubles et objets de toutes les époques et de toutes origines. À quelques dizaines de mètres de là s’est ouvert Herr Judith, son pendant dédié au vestiaire masculin. On y trouve des chemises, des chaussures en cuir, des accessoires, de vieux k-ways… Pour l’équipe, rien ne vaut un vêtement ancien en termes de durabilité, de travail bien fait, mais aussi de prix et d’empreinte écologique.
Hornstull Markad, Hornstulls strand 4, 117 39 Stockholm, les samedis et dimanches d’avril à septembre ; Brandstation et Herr Judith, Hornsgatan 64-65, 118 51 Stockholm, 11h-18h en semaine, 11h-17h le samedi et 12h16h le dimanche.
Les Suédois sont de grands adeptes de la randonnée. Le pays compte près de 400 sentiers balisés et jalonnés d’auberges de jeunesse, de stations de montagne et de refuges. Plusieurs parcours traversent ou partent de la préfecture de Stockholm, comme le Sörmland (Sörmlandsleden) qui passe juste à la sortie de la ville. Long d’un millier de kilomètres, il traverse forêts de pins, tourbières ou terrains rocailleux et croisent plus de 80 lacs. Le sentier de l’Uppland (Upplandsleden) et ses 450 km le long de l’immense lac Mälaren est aussi facilement accessible. Le Roslagsleden part quant à lui du Nord de Stockholm et remonte jusqu’à Grisslehamn sur 190 km. Enfin, le parc national de Tyresta, à une vingtaine de kilomètres au Sud de la ville, compte 55 km de sentiers balisés à travers des paysages surréalistes dessinés par le grand incendie de 1999. Quelques abris permettent d’y passer la nuit et les plus chanceux pourront y croiser des élans. De quoi s’immerger dans la nature pour quelques heures, une journée ou bien plus : en Suède, on peut camper n’importe où à condition bien sûr de laisser les lieux dans l’état dans lequel on les a trouvés !
Dans le quartier d’Hornstull, Ecosphere est un shop qui ne propose que des vêtements, objets et accessoires issus du commerce équitable et durable. À sa tête, Pernilla Johansson. Il y a quelques années, cette spécialiste des sciences de l’environnement, d’urbanisme et de design durable avait monté un blog, Ekoenkelt, dans lequel elle donnait des conseils pour adopter un style de vie respectueux de notre planète. Peu à peu, ses lecteurs lui demandaient des conseils sur les marques de vêtements à choisir pour consommer intelligemment. Pernilla a donc monté un premier shop en ligne avant d’ouvrir une boutique à Stockholm. Regroupant 4 à 5 marques à ses débuts, elle est devenue experte et propose aujourd’hui des produits issus du monde entier choisis pour leurs qualités environnementales et éthiques. On y trouve des marques comme Veja, Kings of Indigo, Ucon Acrobatics, Upstate Stock ou Jungle Folk, mais aussi des livres dont le fameux « No Logo » de Naomi Klein. Pernilla organise régulièrement des événements ouverts à tous pour rencontrer les créateurs et échanger sur leur engagement.
Ecosphere, Bergsunds strand 32, 117 38 Stockholm, tous les jours entre 11h/12h et 17h/19h.
Quand on veut manger « green » à Stockholm, il est difficile de passer à côté d’Hermans. En quelques années, ce buffet à volonté est devenu une institution de la scène vegan suédoise. À l’Ouest de Södermalm, il faut serpenter entre les ruelles de la vieille ville pour le trouver. Derrière une petite porte en bois se cache un jardin terrasse avec une vue imprenable sur toute la baie. Parfait pour manger le midi, allongé sur des transats, ou le soir pour profiter du coucher de soleil. À la carte, toutes sortes de plats végétariens préparés à partir de produits frais et locaux. Après une longue journée à arpenter la ville, on vous recommande les lasagnes végé accompagnées d’une petite Ginger Beer.
Hermans, Fjällgatan 23B, 116 28 Stockholm, tous les jours de 11h à 22h.
Située entre le lac Mälaren et la mer Baltique, Stokholm s’étend sur 14 îles comprises dans un archipel qui en comprend… près de 30 000 ! Et la plupart sont de vraies petites bulles de nature préservée, entre lacs, forêts, plages et maisons en bois colorées. Tous les Stockholmois sont liés d’une manière ou une autre à l’archipel. Certains y ont une résidence secondaire (les fameuses stugas), d’autres un bateau. Chaque week-end, ils partent s’y mettre au vert. Nous, on a pris la direction de Utö, une petite île à moins de deux heures de la capitale, facilement accessible en train et bateau. L’endroit parfait pour déconnecter, que ce soit pour une journée ou un séjour prolongé. On se réveille tôt, au chant des oiseaux, dans nos petites cabanes en bois, et on prend son vélo pour observer le lever de soleil. En chemin, on croise des biches et des hérons. Ancienne réserve de chasse royale et aujourd’hui zone naturelle protégée, l’île abrite une faune incroyable. L’après-midi, on part marcher, on loue un kayak ou on va se baigner. D’ailleurs, c’est ici que se déroule la fameuse course Ötillö, première compétition de swimrun en duo. Quelques restaurants, une boutique, un moulin, un ponton. Que demander de plus ?
Pour Utö, prendre le bateau depuis Arsta Brygga, facilement accessible toute l’année en train et bus depuis Sockholm Central Station (50 min), ou directement depuis le centre de Stockholm durant l’été (3 heures).
Dans le quartier commercial de Normalm, on ne s’attend pas vraiment à trouver des petites adresses où se poser, et encore moins pour le petit déjeuner. Mais le Green Rabbit fait exception. Créé par le célèbre cuisinier suédois Mathias Dahlgree, Green Rabbit est une boulangerie et un coffee shop qui ne sert que des produits frais, faits à la main à partir de farines complètes, biologiques et soigneusement sélectionnées auprès de petits producteurs locaux. On vous conseille le fameux Kannellbullar, le roulé à la cannelle. Impossible de quitter la Suède sans y goûter, accompagné d’un grand café.
Green Rabbit,Tegnérgatan 17, 111 40 Stockholm, tous les jours sauf le dimanche entre 8h/9h et 15h/17h.
Pour faire le plein d’inspiration et de presse indé à Stockholm, direction Papercut, dans le quartier de Mariatorget, sur Södermalman. Outre Les Others, vous y trouverez tous les magazines dont vous rêvez, venus du monde entier, que ce soit sur la photographie, le design ou même le vélo. L’avantage, c’est qu’on peut également y retrouver des numéros passés. Monté par Alexander et Andreas en 2008, Papercut propose également de beaux livres consacrés au voyage, aux habitats et modes de vie alternatifs, ainsi qu’une sélection de films d’auteurs et de documentaires. C’est bien simple, on y resterait des heures.
Papercut, Krukmakargatan 24, 118 51 Stockholm, tous les jours de 11h à 18h30 et de 11h à 17h00 le week-end.
Remake est une marque de vêtements conçus exclusivement à partir de matériaux récupérés et recyclés. Leur philosophie : augmenter la durée de vie des produits et en faire des pièces intemporelles, unisexes et en taille unique. Une fois le tissu sélectionné, des designers conçoivent les vêtements qui sont alors cousus par des travailleurs sociaux. Car Remake s’engage autant pour la planète que pour ses habitants et propose des workshops et des formations pour les demandeurs d’emplois et les personnes en difficulté. Tous leurs produits sont conçus à Stockholm et sur l’étiquette de chacun d’eux est précisée la provenance des matières, l’endroit où elles ont été transformées, leur histoire. Les déchets et chutes sont également récupérés pour confectionner du mobilier. Au final, Remake recycle plus de 2,5 tonnes de textile par an.
Remake, Långholmsgatan 15c, 117 33 Stockholm tous les jours de 10h à 20h et le week-end jusqu’à 18h.
Le long de la longue rue d’Hornsgatan, entre les concepts stores et les vintage shops, on fait une pause chez Mahalo. Tenu par une bande de filles tatouées, ce café vegan mixe ambiance tropicale et design scandinave. Au menu : jus de fruits, wraps, buddha bowls, salades colorées, falafels ou encore « mylkshake » garantis sans produit laitier. Le tout fait maison et uniquement à partir de produits frais issus de petits producteurs locaux. Au fond se cache une grande terrasse ensoleillée où l’on se pose pour déjeuner au calme. On vous conseille l’Açaï bowl, le meilleur du quartier. De quoi bien commencer la journée.
Mahalo, Hornsgatan 61, 118 49 Stockholm, tous les jours de 9h à 19h et le week-end de 10h à 18h.
Entre les auberges de jeunesse, le couch surfing ou Airbnb, on ne va pas se le cacher : aller à l’hôtel nous vient de moins en moins à l’idée. On préfère rencontrer du monde, trouver quelque chose d’authentique et, si possible, rester connecté avec la nature. C’est bien dans cet esprit qu’a été pensé le Downton Camper. Dès l’entrée, le ton est donné : kayaks au plafond, cartes sur les murs, skates et vélos en libre service, hamacs… Un peu plus loin, un grand feu de cheminée nous attend pour des veillés avec marshmallows grillés. L’hôtel propose toutes sortes d’activités comme des sorties running ou des séances de yoga à partager avec le staff et les locaux. Les chambres sont également imaginées pour se sentir comme à la maison, selon le principe du « co-living », la vue sur les toits de Stockholm en bonus. L’hôtel surveille de près son impact environnemental en réduisant ses dépenses énergétiques ainsi que ses déchets, et en n’utilisant que des produits éco-friendly, ce qui lui vaut d’être certifié par le Nordic Swan Ecolabel.
Downtown Camper, Brunkebergstorg 9, 111 51 Stockholm.
Photos : Fabien Voileau et Scandic Hotel
Merci à Visit Sweden et Stockholm Business Region
En partenariat avec
Lafuma
Lafuma est une marque française créée en 1930 qui fabrique et distribue des vêtements et accessoires dans un esprit de simplicité et d’accessibilité pour accompagner le déplacement lent en terrain outdoor et urbain dans une démarche de développement durable. La marque s’attèle à réduire au maximum son empreinte écologique à travers ses actions de terrain et ses produits labellisés Low Impact.
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